J’ai testé l’épilation laser

Publié le : 06 mai 20207 mins de lecture

Un article beauté j’ai testé l’épilation définitive au laser avec le centre Amaderma. Explication sur cette petite intervention qui change la vie.

Il y a quelques semaines le centre Amaderma m’a contacté pour me présenter leur concept. Un centre esthétique pluriel qui propose toute une gamme de soins allant de l’épilation laser à l’implant capillaire (rassurez vous, pas au même étage ce serait cocasse !), en passant par des séances de Cryolipolyse. Un catalogue de prestations encadrées par des médecins et réalisées par une équipe d’infirmières. J’ai décidé de tester l’épilation définitive, le graal, l’adieu à la douloureuse visite mensuelle chez l’esthéticienne. L’occasion rêver de sauter le pas. Rendez-vous pris la semaine suivante avec un dermatologue.

Arrivée dans les locaux lumineux du centre, je suis reçue par un dermatologue histoire de parler poils et protocole. J’avais un peu d’appréhension et une bonne vingtaine de questions. Ça fait mal ? Ça marche comment ? C’est vraiment pour toujours ? Alors en tant que cobaye j’avais vraiment besoin de réponses, mais d’autant plus lorsqu’il s’agit d’en parler avec vous ici.

Capture-d’écran

Épilation au laser et épilation lumière pulsée c’est quoi la différence ?

Ces deux techniques détruisent les poils à la racine, et sont considérées comme définitives car efficaces sur le long termes. Dans les deux cas on s’attaque à la mélanine du poil pour le détruire. Le laser semble toutefois plus efficace car son action est plus profonde.

Comment ça marche ?

Le laser envoie un faisceau lumineux qui détruit la mélanine. La lumière suit le poil jusqu’au bulbe et le brule définitivement. Un acte qui ne peut être réalisé que par une équipe médicale. Pour être efficace, le poil doit être dans sa phase de croissance active appelée Anagène, c’est à ce moment là que le poil est attaché au bulbe et donc qu’il pourra conduire parfaitement le laser jusqu’à la racine. Le cycle de vie d’un poil est de plusieurs mois, il est donc important d’espacer les séances, afin de permettre à nos gentils compagnons de pousser.

Combien de séances faut-il ?

Tout dépend d’abord de la zone choisie. Une épilation des aisselles est plus rapide que celle des demis jambes. Ensuite viennent les critères naturels, propres à chacun. La teinte et la texture du poil entre également en ligne de compte. Un nombre de séances est établi en fonction du diagnostic du dermatologue.

Le rasoir c’est vraiment fini ?

Malheureusement dans ce monde rien n’est éternel. Les pauvres femmes que nous sommes, impuissantes face à la valse de nos hormones. Malgré des épilations réussies, il est fréquent d’observer des repousses lors de nos grands chamboulements d’oestrogène type grossesse, ménopause ou la très redoutée poussée imprévue. Mais au vue de ce qui repousse il semble que ça vaille quand même le coup.

Ça fait mal ?

Aïe, là encore nous ne sommes pas logés à la même enseigne. Mais ce n’est pas plus douloureux qu’une visite chez notre copine Vénus Beauté.

Après cet interrogatoire, et les premiers doutes enlevés, je pris LA grande décision. J’ai choisi d’épiler le maillot. Ouais j’avoue vous raconter ça comme ça je me suis dit que ce serait un peu gênant, mais après tout on est toutes les mêmes, arrivées à la moitié de nos vacances lova lova à faire des choix stratégiques sur vos tenues de naïades pour cacher les joies d’une repousse estivale. Oui mais voilà cette zone là est aussi l’une des plus douillettes. Le dermato me demanda de m’allonger afin qu’il fasse un test sur peau. Passer une micro zone au laser voir si la peau réagissait bien. Une petite décharge électrique, comme le claquement d’un élastique. Quinze jours plus tard, avec mon test réussi j’étais prête pour ma première séance.

C’est l’infirmière Manon qui s’est occupée de moi, je dois avouer que j’étais un peu stressée à l’idée de passer sous le laser, j’appréhendais la douleur. Munis de nos lunettes de Daftpunk orange fluo elle attaqua la première zone qu’elle avait préalablement dessiné. C’était pas si terrible, mais j’avoue que quelques endroits furent plus délicats que d’autres. Manon me conseilla de chanter Céline Dion, j’avoue que Dans un autre monde m’a aidé à passer un stade légèrement plus critique. 20 minutes plus tard mes poils étaient tous « crouquis » [ndlr: oui c’est comme ça que Manon le dit], après avoir appliqué un peu de crème cicatrisante ni vue ni connue je repartais bosser. Surprise de n’avoir quasi rien senti, la sensation de douleur ne dure qu’une demi seconde et l’air froid propulsé sous le laser anesthésie la peau. Le soir en rentrant je ne voyais pas vraiment de différence et suis restée quelques peu perplexe. Quelques jours plus tard je remarquais la différence. Presque 80% des poils avaient disparus, ceux qui poussaient semblaient plus fins. La première séance fut un véritable succès. Il me reste encore 3 à 4 séances pour être totalement niquel, mais le résultat est déjà bluffant. Je suis ravie rien qu’à la perspective de ne plus jamais avoir à refuser une journée plage.

Ma prochaine séance étant début avril j’en profiterais pour vous faire une petite vidéo inside histoire de vous donner mes impressions et mes conseils :p

En tout cas si vous souhaitez vous aussi passer le cap de l’épilation définitive je vous recommande le centre Amaderma, une équipe professionnelle et chaleureuse qui sera ravie de vous accueillir. Un petit conseil faites le avant l’été !

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